Qui veut faire un plouf ?

**Gülghul** Ven 8 Oct - 21:55

7h du matin... alors que le soleil motivé à briller après une semaine de crachins incessants, les premiers rayons orangés viennent chatouiller doucement les paupières de Gülghul. Le gnome aux cheveux verts se réveille doucement. Il étire son petit corps nerveux, se frotte légèrement les yeux et ouvre la bouche pour laisser un bâillement qui ne se décide pas à venir. Tout est calme dans l'auberge, l'oreiller bien coincé derrière la tête, Gülghul écoute les douces symphonies qui s'offre à lui, en commun accord Ramoon et Qunu ronfle paisiblement, par ses ronflements lourds et gras Qunu fait les basses tandis que Ramoon est le soliste. Perdu sans ses pensées, Gülghul se lève après avoir écouté ce petit jazz matinale. Les derniers nuages fuient devant les rafales de vent pour laisser place à un soleil radieux.
Un petit sourire s'esquisse sur le visage gamin de Gülghul, comme tous gnomes qui se respecte, il content, toujours content. Il descend lentement les marches de la taverne, en évitant de les faire craquer, tâche difficile que de satisfaire les caprices de ces marches, on dirait toujours qu'elles se plaignent (comme Ajna). Une fois rendu à la taverne, il aperçoit les alcooliques qui ont passés la nuit affaler sur le comptoir, la bière moussait encore sur leurs lèvres. Après quelques détours pour éviter les corps endormis jonchant le sol, Gülghul sort de la taverne, la hache à la main, pour faire ses entrainements quotidiens qui consistaient tout simplement à couper le plus du bûches de bois possible.

Lorsque qu'après deux heures d'entrainements bien achevés et que quelques gouttes de sueur tombaient de ses cheveux verts, Gülghul revint à la taverne. A son retour, quelques compagnons s'étaient levés et se rassemblèrent autour du panneau d'information des guerres. Gülghul se faufila sans peine à travers les jambes de ces derniers pour voir ce qui les intriguait. Gülghul vit une feuille remplit d'informations. Il n'était pas un grand lecteur, et tous cela l'ennuyait, il observa donc la feuille et lu simplement un mot en gras : "Le bassin"
Gülghul naïvement s'écria alors :

"Chouette alors ! On va à la piscine !"